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SALAFIS-PUBLICATION-CASTRES

SALAFIS-PUBLICATION-CASTRES

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمنِ الرَّحِيم Bismillahir-Rahmanir-Rahim Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux Ce blog est porteur de la Croyance des gens de la Sounna-wal djama’a [consensus] selon la compréhension des Salafs As-Salih. La raison de ce blog est avant tout d’appeler les gens au Tawhid et à inciter l’éveil de la Oumma quand à la bonne compréhension de l’Islam afin de retourner aux sources que sont le Qur’an et la Sounna authentique et ce que nous ont transmis les pieux prédécesseurs de la Oumma. Notre ‘Aquida, notre Minhadj et notre da’wa se veut Salafiya et notre volonté est de la diffuser Les membres de ce blog ne répondent pas aux questions religieuses destinés aux savants et n'expliquent pas des fatawas également ..baraka Allahou fikoum


mise en garde contre boko haram et leurs semblables

Publié par salafis publication castres sur 18 Mai 2014, 22:08pm

Catégories : #mise en garde تحدير

Au nom d'Allah, le tout Misericordieux, le très Misericordieux

 

Le Grand mufti d’Arabie saoudite Abdulaziz Al Al-Sheikh , que Dieu le préserve, a condamné la secte Boko Haram du Nigeria en tant que groupe mis en place pour salir l’image de l’Islam.

 

Le grand savant a également condamné l’enlèvement du 14 Avril 2014 de plus de 250 écolières par ce même groupe .

 

Ce grand savant de la Salafiyah a ensuite déclaré que le groupe Boko Haram était erronée et que leur mauvaise voie, le takfirisme, doit être montré et rejeté.

 

Ce qui illustre que la voie des Salafs(Prédecesseurs) est innocente du kharajisme contrairement à ce que propagent les plupart des médias.

Boko Haram suivent la secte des Khawaarijs. Ils n'ont rien à voir avec la Salafiyyah ni avec les Salafis.

Nous allons in shaa Allah vous montrez l'idéologie de cette secte étrangère à l'Islam et à la Salafiya ...

LA SALAFIYA SE DESAVOUE DE CETTE SECTE ENNEMIE DE L'ISLAM

Les Khawârij :

 

 

 


Leur origine

Amr ibn al-As recommande à Mu'âwiya d'appeler à un arbitrage sur la base du Coran pour mettre fin au différend qui existe entre eux. Alî, confiant dans le fait qu'il est dans son droit, accepte en disant: "J'ai priorité pour cela ; que le livre d'Allâh soit donc entre nous !". (Fath Al-Bâri 8/748)

 

Il est prévu que, dans le but de cesser de faire couler le sang, deux hommes soient désignés comme arbitres, l'un du groupe de Alî et l'autre de celui de Mu'âwiya, et que leur décision fasse autorité. Muâwiya présente Amr ibn al-As, tandis que Alî est représenté par Abû Mûssa al-Ash'arî (il avait proposé un autre personnage mais il a dû céder devant l'avis de son groupe).

 

L'arbitrage doit se dérouler en ramadan 37 à Dûmat al-jundul, à Adhruh.

Ceux qui - dans le groupe de Alî - refusent l'arrêt des combats et cet arbitrage quittent, mécontents, ses rangs ; cela leur vaudra le nom de "kharidjites", "les sortants". Ils étaient déjà opposés à Mu'âwiya et à Amr ibn al-As; ils sont maintenant opposés à Alî aussi.

 

Ibn 'Abbas leur montre leurs erreurs

Abdoullâh Ibn 'Abbâs (رضي الله عنهما), alla voir Ali (رضي الله عنه) et lui demanda la permission d'aller parler à ces gens. Ali hésita, craignant que Abdoullâh ne fût en danger entre leurs mains, mais finalement Alî laissa libre cours à l'optimisme de Abdoullâh qui était sûr que rien n'arriverait !

Abdoullâh alla jusqu'au groupe en question. Il les trouva absorbés par le culte. Certains n'étaient pas d'accord pour le laisser parler mais d'autres étaient prêts à lui tendre l'oreille. "Dites-moi, demanda Abdoullâh, quel grief avez-vous à l'égard du cousin du Prophète (صلى الله عليه و سلم) le mari de sa fille et le premier de ceux qui ont cru en lui ?".

Les hommes se mirent à énumérer trois causes principales de leur mécontentement à l'encontre d'Ali Ibn Abî Talib, qu'Allâh l'agrée.

Premièrement, le fait qu'il nomma des hommes comme juges pour trancher sur une question dont le jugement ne revenait qu'à Allâh (Exalté soit-Il). C'est à dire que 'Ali avait accepté l'arbitrage d'Abû Mûsâ Al-Ash'arî et de 'Amr Ibn al 'As dans son conflit avec Mu'awiyah.

Deuxièmement, le fait qu'il ait livré bataille sans pour autant récupérer du butin ou constituer des prisonniers de guerre.

Troisièmement, le fait qu'il n'ait pas exigé le titre de Prince des Croyants pendant l'arbitrage bien que les musulmans lui aient prêté serment d'allégeance et qu'il était leur Calife !

A leurs yeux, il y avait manifestement un signe de faiblesse alors qu'Ali Ibn Abî Talib (رضي الله عنه) était prêt à apporter sa position légitime en tant que Prince des croyants dans ce discrédit.

En réponse à cela, Abdoullâh (رضي الله عنه) demanda s'il leur citait des versets du Coran et des paroles du Prophète (Paix et Bénédiction d'Allâh sur lui) pour lesquels ils n'avaient aucune objection et qui seraient en rapport avec leurs critiques, seraient-ils prêts à revoir leur position. Il répondirent que oui, et Abdoullâh commença donc: "Concernant votre avis sur le fait qu'Ali avait nommé des hommes pour juger une affaire n'appartenant qu'au jugement d'Allâh (Exalté soit-Il). Allâh (Exalté soit-Il) dit dans le Coran: {ش les croyants ! Ne tuez pas de gibier pendant que vous êtes en état d'Ihram (sacralisation). Quiconque parmi vous en tue délibérément, qu'il compense alors, soit par quelque bête de troupeau, semblable à ce qu'il a tué, d'après le jugement de deux personnes intègres parmi vous.} (5/95) Je vous en prie alors, par Allâh ! Est-ce que le jugement des hommes pour des questions touchant à la préservation de leur sang et de leur vie et concernant la paix entre les hommes ne méritent pas plus d'attention que le jugement à propos d'un lapin valant un quart de dirham ?

Ils répondirent bien sûr que le jugement était plus important dans le cadre de la préservation des vies des croyants et dans l'établissement de la paix entre eux que pour celui de tuer un gibier dans l'enceinte sacrée (pendant le pèlerinage), chose pour laquelle Allâh (Exalté soit-Il) sanctionne le jugement des hommes.

"En avons-nous fini avec cette question ?", demanda Abdoullâh (رضي الله عنه) et ils répondirent: "ش Allâh oui !".

Abdoullâh poursuivit: " Sur le fait qu'Ali avait livré bataille sans pour autant constituer de prisonniers de guerre comme d'ailleurs le Prophète (صلى الله عليه و سلم) fit ! Voulez-vous vraiment prendre votre Mère 'Aicha comme captive et la traiter comme telle ? Si votre réponse est oui, c'est que vous êtes tombés dans la mécréance. Et si vous dites que 'Aicha n'est pas votre Mère, vous tomberiez aussi dans le kufr car Allâh (Exalté soit-Il) a dit: {Le Prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes ; et ses épouses sont leurs mères} (33/6).

"Choisissez pour vous ce que vous voulez" dit Abdoullâh (رضي الله عنه) puis il leur demanda: "En avons-nous fini avec cette question ?", et à ce moment-là ils répondirent: "ش Allâh oui !".

'Abdoullâh (رضي الله عنه) continua: " Quant à votre prise de position sur le fait qu'Ali a abandonné le titre de Prince des Croyants, rappelez-vous que le Prophète (صلى الله عليه و سلم) lui-même, au cours de la ratification du pacte de Houdaybiyya, exigea que l'on y écrive: " Ceci a été admis par le Messager de Allâh…. ".

Mais Suhayl porte-parole des polythéistes, dit alors: "Si nous avions été convaincus que tu étais un Messager d'Allâh, nous ne t'aurions pas bloqué l'accès à la Ka'ba, ni ne t'aurions combattu ! Ecris plutôt: "Mouhammad Ibn Abdoullâh". Et le Prophète (صلى الله عليه و سلم) accepta en disant: "Par Allah, je suis le Messager d'Allâh même s'ils le nient !".

A ce moment-là, Abdoullâh Ibn 'Abbâs (رضي الله عنهما) demanda aux dissidents: "En avons-nous fini avec la question ?". Et ils répondirent encore une fois: "ش Allah, oui !".

La majorité, environ vingt mille hommes, rejoignirent les rangs d'Ali. Environ quatre mille cependant restèrent obstinés. Ces derniers furent bientôt connus sous le nom de khawârij ou "kharijites".

Les kharijites se réunissent ensuite à Ctésiphon. Alî ne cesse de correspondre avec eux pour leur demander de revenir. Ils refusent et lui demandent de reconnaître d'abord qu'il a, lui, apostasié, et donc de se repentir. Alî continue sa correspondance, mais cette fois ils sont à deux doigts d'assassiner son émissaire. Puis ils prennent comme résolution que tout musulman n'appartenant pas à leur groupe pourra être tué et volé. Et ils se mettent effectivement à tuer ceux qui passent près du lieu où ils se sont établis. C'est seulement alors que Alî part les combattre. Il les écrase à Nehrawân, en l'an 38 (Fath Al-Bâri 12/355-356, 12/369-372)

Si les kharidjites sont décimés à Nehwarân, un petit nombre d'entre eux en réchappent. Ils rassemblent bientôt quelques partisans. Au mois de ramadan de l'an 40, Alî est l'objet d'une embuscade tenue par l'un d'entre eux et est mortellement blessé (Fath Al-Bâri 12/356-357)


Leurs déviations

Ils ont assassiné 'Othmân et 'Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallahu 'anhuma). Ils ont assassiné Az-Zoubeyr Ibn Al-'Awwam et tué les meilleurs des Compagnons. Et ils n'ont jamais cessé de tuer les musulmans.

Ils n'adhèrent pas à la Sounnah et à la Djamâ'ah (au groupe), et ils n'obéissent pas non-plus au gouverneur. Plutôt, ils se rebellent contre lui, et renoncent au pacte d'allégeance avec lui, disant que cela ne fait pas partie de la religion.

Ainsi, quelqu'un qui commet un grand péché, un fornicateur, un voleur, quelqu'un qui boit de l'alcool par exemple, sont tous considérés comme étant mécréant.

Ibn Al-Qayyîm (rahimahullâh) a dit à propos d'eux: "Ils ont des preuves tirées des textes, qu'ils ne comprennent pas, ainsi, ils leur a été donné peu de science."

 
Nous lançons contre le faux la vérité qui le subjugue, et le voilà qui disparaît..

 

Eclaircissement concernant les Khawâridjs

 

 

Sheikh Sâlih Fawzân Al-Fawzân (hafidhahullâh)

 

Les « Khawâridjs » sont ceux qui se sont révoltés [sont sortis : kharoûdj] contre leur gouverneur à l’époque du khalifah de ’Uthmân (radhiallahu ’anhu). Leur révolte eut pour résultat l’assassinat de ’Uthmân (radhiallâhu ’anhu). Puis leur mal grandit encore durant le khalifah de ’Alî (radhiallâhu ’anhu), et ils se rebellèrent contre lui, et ont dit que c’était un mécréant. Ils ont aussi fait du « takfîr » [le fait de rendre mécréante une personne] sur les Compagnons (radhiallâhu ’anhum), car ces derniers ne voulaient pas être d’accord avec eux dans leurs fausses croyances.

 

Ainsi, ils jugèrent que tous ceux qui s’opposaient à eux sur leur point de vue étaient des mécréants |Kufâr]. En résultat, ils prononcèrent le takfir sur les meilleurs parmi la création, c’est-à-dire, les Compagnons du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam). Pourquoi ceci ? Car ils (les Compagnons) n’étaient pas d’accord avec eux quant à leur égarement et leurs mauvaises croyances. Ils n’adhèrent pas à la Sounnah et à la Djamâ’ah (au groupe), et ils n’obéissent pas non plus au gouverneur. Plutôt, ils se rebellent contre lui, et renoncent au pacte d’allégeance avec lui, disant que cela ne fait pas partie de la religion, ils contredisent ainsi le conseil du Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam) de montrer de l’obéissance et ils contredisent le commandement d’Allâh qui dit :

« Obéissez à Allâh et obéissez au Messager et à ceux qui détiennent le commandement parmi vous. » [1]

 

Ainsi, Allâh - Ta’âla - a rendu l’obéissance au gouverneur comme étant une partie de la religion, et le Messager d’Allâh (sallallahu ’alayhi wa sallam) a rendu l’obéissance au gouverneur comme étant une partie de l’Islâm, ainsi, on retrouve cela dans le hadîth :

« Je vous recommande la taqwah [crainte] envers Allâh, et une totale obéissance même si un esclave devient votre chef. Car celui auquel sera prêté une longue vie verra de nombreux différents. » [2]

Ainsi, obéir au gouverneur musulman fait partie de la religion de l’Islâm. Mais les khawâridjs disent : « Non, nous sommes exempts de cela ». Ainsi, les « Khawâridjs » sont ceux qui cherchent à causer la division au sein du corps principal et uni des musulmans, et qui se révoltent contre leurs leaders, or c’est de la désobéissance envers Allâh et Son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam) que de faire cela. Ils prétendent également que la personne qui fait un grand péché est un mécréant [Kâfir].

Ainsi, quelqu’un qui commet un grand péché, un fornicateur, un voleur, quelqu’un qui boit de l’alcool par exemple, sont tous considérés comme étant mécréant.

Au contraire, « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ’ah » disent qu’une telle personne est musulmane, mais avec une foi moindre [faible], et ils l’appellent « un pécheur dans la religion ». Donc c’est un croyant, et ceci à cause de son Imân [foi], tandis que c’est un pécheur à cause de son grand péché. Car rien ne fait sortir de l’Islâm, excepté le Chirk [polythéisme] et toutes les choses bien connues qui sont des « nawâqidh al-Islâm » [annulations de l’Islâm] Quant aux péchés qui sont en dessous du Chîrk [association], ils n’expulsent pas une personne hors de la Foi, même si ce sont des grands péchés.

Allâh - Ta’âla - dit :

« Certes, Allâh ne pardonne pas qu’on Lui associe quelque chose, mais Il pardonne en dehors de cela à qui Il veut. » [3]

[Pour les Khawâridjs] celui qui a commis un grand péché est un mécréant, il ne sera pas pardonné, et ils resteront pour l’éternité en Enfer. Or, ceci est à l’opposé de ce qui est mentionné dans le Qor’ân. La raison pour ceci est qu’ils n’ont pas la compréhension de la Religion. Notez que la raison pour laquelle ils sont tombés dans cela [dans ces fausses croyances] fut leur manque de compréhension. Ceci, car ils sont des gens qui sont acharnés dans leurs adorations, prières et jeûne, et récitation du Qor’ân. Et ils ont une grande ferveur dans la religion mais ils n’ont pas de science, et là est le problème. Ainsi, faire des efforts considérables et s’exhorter soi-même à la piété et à l’adoration doit être accompagné de science et de compréhension de la Religion. C’est pourquoi l’Envoyé (sallallahu ’alayhi wa sallam) les a décrit à ses compagnons (radhiallahu ’anhum) de la manière suivante : que les Compagnons regarderont leurs propres prières et adorations avec humilité à côté des leurs. Puis il leur dit : « Ils sortiront de la religion comme la flèche de l’arc » [4]

Ceci, malgré leurs adorations et malgré leur droiture et leurs prières la nuit. Ainsi, parce que leur exégèse n’a pas été basée sur un fondement correct, ni sur une science authentique, cela devient de l’égarement, et du mal sur eux et sur la Communauté musulmane. Bien plus, il n’a jamais été rapporté que les « Khawâridjs » ont même un seul jour combattu les mécréants. Au contraire, ils se sont seulement battus contre les musulmans, comme le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) a dit : « Et ils tueront les gens de l’Islâm, alors qu’ils laisseront les idolâtres » [5]

Il n’est pas parvenu à notre connaissance, à propos de l’histoire des Khawâridjs, qu’ils se soient même un jour battus contre les mécréants et les polythéistes. Plutôt, ils combattent sans arrêt les musulmans. Ils ont assassiné ’Uthmân et ’Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallâhu ’anhumâ). Ils ont assassiné Az-Zubeyr Ibn Al-’Awwâm et tué les meilleurs des Compagnons. Et ils n’ont jamais cessé de tuer les musulmans. Et tout ceci est dû à leur ignorance de la Religion d’Allâh. Mais malgré cela, ils avaient de la piété et de la dévotion, mais puisqu’ils ne se basent pas sur la science authentique, cela devint une maladie pour eux. C’est pourquoi le grand savant Ibn al-Qayyîm (rahimahullâh) a dit à propos d’eux : « Ils ont des preuves tirées des textes, qu’ils ne comprennent pas, ainsi, ils leur a été donné peu de science. »[6]

Ainsi, ils utilisaient les textes comme preuves mais cependant ils ne les comprenaient pas. Ils utilisaient comme preuves des textes du Qor’ân et de la Sounnah concernant les (menaces) dangers de commettre des péchés, mais ils ne saisissent pas leur signification. Ils ne les réfèrent pas aux autres textes dans lesquels on trouve le promesse du pardon et de l’acceptation du repentir pour ceux qui ont fait des péchés moindres que le polythéisme. Ainsi, ils acceptent une partie, et rejettent une autre partie, tout ceci à cause de leur ignorance.

Donc, avoir un amour surprotecteur pour la Religion et de l’enthousiasme ne suffisent pas. Ces choses doivent être fondées sur la science et la compréhension de la religion d’Allâh. Alors, [cet amour et cet enthousiasme] seront issus de la connaissance et ils seront à la place qui leur sied. L’amour sur protecteur pour la Religion et l’enthousiasme sont un bien, mais ils doivent être guidés et dirigés par le suivi du Qor’ân et de la Sounnah. Il n’y a personne qui a plus de « priorité » et qui est plus sincère envers la religion que les Compagnons (radhiallâhu ’anhum), mais malgré cela, ils se sont battus contre les « khawâridjs », et ceci à cause du danger et du mal qu’ils représentent.

’Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallâhu ’anhu) s’est battu contre eux, de telle sorte qu’il fut assassiné par eux, par le pire des assassinats lors de l’incident de Nahrawân. En faisant cela, il a accompli ce que le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) nous avait affirmés, du fait qu’il donnait la bonne nouvelle à ceux qui tueraient les khawâridjs de la félicité et du paradis. Ainsi, ’Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallâhu ’anhu) fut l’un de ceux qui les tua, donc il reçu la bonne nouvelle de l’Envoyé (sallallahu ’alayhi wa sallam). Il en tua afin d’empêcher le mal de tomber sur les musulmans. Il est obligatoire pour les musulmans de chaque génération, s’ils sont au courant de l’existence de cette mauvaise compréhension, qu’ils remédient à cela en appelant au chemin d’Allâh en premier lieu, et en éduquant les gens là-dessus. S’ils ne l’acceptent pas, ils doivent les combattre afin d’empêcher leur mal.

’Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallahu ’anhu) envoya son cousin, ’Abdullâh Ibn ’Abbâs -le savant de cette Communauté et le « Tourdjmân » [exegète , commentateur] du Qor’ân à ces gens-là. Ainsi, il débattit avec eux et 6000 d’entre eux se repentirent et retournèrent,mais beaucoup restèrent et ne se repentirent point. Alors , à ce moment là, l’Emir des Musulmans ’Alî Ibn Abî Tâlib avec les Compagnons, se mirent à les combattrent, et cela afin d’empêcher leur mal de toucher les musulmans. Ceci est la secte connue sous le nom de « Al-Khawâridjs », est c’est leur ’Aqîdah [dogme/croyance].

Notes

[1] sourate An-Nissâ, v59

[2] hadîth rapporté par Abû Dâwoud et At-Tirmidhî - hassan/sahîh

[3] sourate An-Nissâ, v48 et 116

[4] Ahmad, Al-Bukhârî, Muslim

[5] Al-Bukhârî et Muslim

[6] Kitâb « an-Nouniyyah » de Ibn al-Qayyîm, p.97

 

...
 
 
 

voila comment le prophète 3alayhi salatou wa sallam a nommer les khawarij....

Voici l'avis de nous SALAFIS IN SHAA ALLAH QUI EST L'AVIS DE NOS SAVANTS SUR CES GROUPES NOUVEAUX QUI SONT LES ALLIEES DU DIABLE

PRENDRE EN OTAGES DES NON-MUSULMANS ??? REPONSE ICI IN SHAA ALLAH

CEUX QUI DISENT QUE LES MUSULMANS SONT SILENCIEUX FACE AUX DEGATS COMMIS PAR AL QAIDA OU AUTRE GROUPE TERRORISTE? REPONSE

réponse à ceux qui disent : Nos frères se font tuer dans le monde entier !

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